Le Pen. Le salon du Bourget s’est ouvert ce lundi 16 juin.
Des stands israéliens d’armement ont été fermés en raison du génocide en
cours à Gaza. Des fermetures de «
désapprobation » d’un
Gouvernement qui refuse encore de reconnaître l’État de Palestine. Une
décision insupportable pour Marine Le Pen, la première amie de Benjamin
Netanyahu en France avec Jordan Bardella. Selon ses mots, cette
fermeture de stands «
démontre une volonté de nuire à un état allié de la France ». Une «
discrimination inacceptable », dénonce-t-elle.
Alors que le peuple palestinien est massacré sous les bombes et tué
par la famine par le blocus illégal de la bande de Gaza, l’extrême
droite française renouvelle son plein soutien au Premier ministre
Netanyahu et à ses ministres d’extrême droite.
Dernièrement, son ministre du Patrimoine a recommandé de « lancer une bombe atomique » sur Gaza et de « bombarder l’aide humanitaire ».
Les ministres suprémacistes Ben Gvir et Smortich sont du même calibre.
Les héritiers des génocidaires retrouvent leurs alliés génocidaires du
présent. Une certaine cohérence. Face à ses voisins au Proche-Orient,
Jean-Marie Le Pen a toujours défendu Israël.Pour l’extrême droite,
Israël constitue l’avant-poste de l’Occident face à un Proche-Orient
qu’elle exècre. Pas une seule critique émise, comme sa fille
aujourd’hui, qui reprend tous les éléments de la propagande israélienne,
maintes fois démentis par les ONG, les associations et les filiales de
l’ONU dans la région.
Sur Twitter, Manuel Bompard a réagi : « Honteux
: Le Pen voudrait que l’on vende au salon du Bourget les armes
utilisées pour massacrer la population de Gaza. L’extrême-droite,
toujours du côté des génocides ». À noter que certains stands
israéliens restent eux ouverts, ce qui constitue là le vrai et seul
scandale au regard des massacres toujours en cours à Gaza. Emmanuel
Macron est « dur à suivre » a jugé Jean-Luc Mélenchon.
Le Pen. Le salon du Bourget s’est ouvert ce lundi 16 juin.
Des stands israéliens d’armement ont été fermés en raison du génocide en
cours à Gaza. Des fermetures de « désapprobation » d’un
Gouvernement qui refuse encore de reconnaître l’État de Palestine. Une
décision insupportable pour Marine Le Pen, la première amie de Benjamin
Netanyahu en France avec Jordan Bardella. Selon ses mots, cette
fermeture de stands « démontre une volonté de nuire à un état allié de la France ». Une « discrimination inacceptable », dénonce-t-elle.
Alors que le peuple palestinien est massacré sous les bombes et tué
par la famine par le blocus illégal de la bande de Gaza, l’extrême
droite française renouvelle son plein soutien au Premier ministre
Netanyahu et à ses ministres d’extrême droite.
Dernièrement, son ministre du Patrimoine a recommandé de « lancer une bombe atomique » sur Gaza et de « bombarder l’aide humanitaire ».
Les ministres suprémacistes Ben Gvir et Smortich sont du même calibre.
Les héritiers des génocidaires retrouvent leurs alliés génocidaires du
présent. Une certaine cohérence. Face à ses voisins au Proche-Orient,
Jean-Marie Le Pen a toujours défendu Israël.Pour l’extrême droite,
Israël constitue l’avant-poste de l’Occident face à un Proche-Orient
qu’elle exècre. Pas une seule critique émise, comme sa fille
aujourd’hui, qui reprend tous les éléments de la propagande israélienne,
maintes fois démentis par les ONG, les associations et les filiales de
l’ONU dans la région.
Sur Twitter, Manuel Bompard a réagi : « Honteux
: Le Pen voudrait que l’on vende au salon du Bourget les armes
utilisées pour massacrer la population de Gaza. L’extrême-droite,
toujours du côté des génocides ». À noter que certains stands
israéliens restent eux ouverts, ce qui constitue là le vrai et seul
scandale au regard des massacres toujours en cours à Gaza. Emmanuel
Macron est « dur à suivre » a jugé Jean-Luc Mélenchon.
Rappelons qu’il y a trois semaines, l’Élysée a validé en secret la
livraison de 14 tonnes de pièces de fusils mitrailleurs made in France à
destination d’Israël. La mobilisation exemplaire des dockers du port de
Fos-Marseille a empêché que ces armes soient chargées à bord d’un
bateau en direction d’Israël. Notre brève.
Pour aller plus loin : « J’ai refusé de brûler des maisons » – 60 000 Israéliens refusent de rejoindre l’armée sur fond de grandes désertions
« Honteux : Le Pen voudrait que l’on
vende au salon du Bourget les armes utilisées pour massacrer la
population de Gaza. L’extrême-droite, toujours du côté des génocides » – Manuel Bompard
Sources:linsoumission.fr