Les consignes données par le ministere des Affaires Etrangères et celui de la Culture aux institutions culturelles subventionnées de’’ suspendre’’ la coopération culturelle et scientifique avec le Niger,le Mali et le Burkina Faso démontre à quel point les amateurs,les ignorants de la macronie sont en dessous de tout.
Face au tollé suscité par ces consignes imbéciles(je pèse mes mots)Les ‘’élites’’ françaises au sommet de l’Etat ont donc décidé de rétro pédaler et non plus de’’ déprogrammer’’mais de ne plus ‘’programmer’’La nuance est subtile.On se dit que les écoles qui forment ces ‘’élites’’devraient d’une part éviter de recruter des ânes et d’autre part au cas où elles recruteraient des chevaux de courses qu’elles fassent un effort pour changer la qualité du picotin qui est distribué dans leurs mangeoires.
La’’diplomatie de punition’’ engagée par le chef de l’état est absurde et dans les coulisses de Bruxelles,du G20 et d’autres écuries internationales on hennit,on stress.. Tous les diplomates compétents savent pourtant que lorsque les tensions (géo)politiques s’exacerbent, les autres canaux de coopérations sont essentiels pour contribuer à l’apaisement. La « stratégie » du coup de menton, a fortiori face à des régimes militaires tirant de ces confrontations leur principal argument de légitimité, doublée d’une punition collective des peuples, est un désastre. Elle aboutit à se couper des sociétés, donc à aggraver l’image déjà très écornée de la France sur la scène internationale.
Au nom de la liberté culturelle, de l’amitié entre les peuples, et de l’intérêt pour tous les francophones de faire vivre un espace commun comme alternative à la domination de la culture anglo-saxonne.Appelons à lever le blocage des visas et reprendre la coopération culturelle et scientifique.Comme certain à El Jadida j’ai reçu dans mon courrier électronique un message de l’Institut français nous signalant ‘’qu’en raison des circonstances et par solidarité avec les victimes du séisme survenu au Maroc,la programmation culturelle de l’institut français est suspendue’’.Voilà à lui seul comment un communiqué montre lui aussi la faillite de l’Etat et sa représentation à l’étranger.N’étant pas en reste l’association en charge de la représentation des français à El Jadida entre un petit pain au chocolat qu’on écoule entre un café et un verre de thé chaque mois, a lui aussi disparu des radars.On peut venir roucouler,dodliner du chef et secouer sa croupe au vernissage ,ou au pots d’arrivée d’un directeur ou d’une directrice de l’Institut français sans pour autant représenter la communauté française dans son ensemble.La compétence,le charisme,la culture,la tolérance et l’altérité ne se mesurent pas au prix d’un brushing des années soixante, et de la qualité des escarpins en cuir de vache véritable, ni d'un murmure la bouche en cul de poule un jour de vernissage :’’Moi je vernis avec Lefranc Bourgeois’’.On espérait mieux de ces soit disant représentants français.Nous aurions pu imaginer recevoir dans nos boites mails une proposition de rencontres à l’Institut français avec ceux qui se proposent de représenter les français de El Jadida et toutes les bonnes volontés concernées sans exclusivité.Ils ont préféré éteindre la lumière et ranger les solidarités à découvrir,à organiser,à multiplier et à inventer à inexister.Pitoyable paresse,incompétence où la compassion,l’entraide et la solidarité se sont matérialisées par une coupure d’activité culturelle.Nul doute que la censure de quelques images de film,trois accords de guitare et un pitch du dernier roman d’un franco marocain en mal de notoriété vont calmer des estomacs en famine, les brulures des blessés(es) en soufrance ou l'insomnie des nuits froides comme on les connait en altitude.
Réussite:’’accession au dernier poste,c’est à dire au niveau d’incompétence’’
-André Malraux.-
Face au tollé suscité par ces consignes imbéciles(je pèse mes mots)Les ‘’élites’’ françaises au sommet de l’Etat ont donc décidé de rétro pédaler et non plus de’’ déprogrammer’’mais de ne plus ‘’programmer’’La nuance est subtile.On se dit que les écoles qui forment ces ‘’élites’’devraient d’une part éviter de recruter des ânes et d’autre part au cas où elles recruteraient des chevaux de courses qu’elles fassent un effort pour changer la qualité du picotin qui est distribué dans leurs mangeoires.
La’’diplomatie de punition’’ engagée par le chef de l’état est absurde et dans les coulisses de Bruxelles,du G20 et d’autres écuries internationales on hennit,on stress.. Tous les diplomates compétents savent pourtant que lorsque les tensions (géo)politiques s’exacerbent, les autres canaux de coopérations sont essentiels pour contribuer à l’apaisement. La « stratégie » du coup de menton, a fortiori face à des régimes militaires tirant de ces confrontations leur principal argument de légitimité, doublée d’une punition collective des peuples, est un désastre. Elle aboutit à se couper des sociétés, donc à aggraver l’image déjà très écornée de la France sur la scène internationale.
Au nom de la liberté culturelle, de l’amitié entre les peuples, et de l’intérêt pour tous les francophones de faire vivre un espace commun comme alternative à la domination de la culture anglo-saxonne.Appelons à lever le blocage des visas et reprendre la coopération culturelle et scientifique.Comme certain à El Jadida j’ai reçu dans mon courrier électronique un message de l’Institut français nous signalant ‘’qu’en raison des circonstances et par solidarité avec les victimes du séisme survenu au Maroc,la programmation culturelle de l’institut français est suspendue’’.Voilà à lui seul comment un communiqué montre lui aussi la faillite de l’Etat et sa représentation à l’étranger.N’étant pas en reste l’association en charge de la représentation des français à El Jadida entre un petit pain au chocolat qu’on écoule entre un café et un verre de thé chaque mois, a lui aussi disparu des radars.On peut venir roucouler,dodliner du chef et secouer sa croupe au vernissage ,ou au pots d’arrivée d’un directeur ou d’une directrice de l’Institut français sans pour autant représenter la communauté française dans son ensemble.La compétence,le charisme,la culture,la tolérance et l’altérité ne se mesurent pas au prix d’un brushing des années soixante, et de la qualité des escarpins en cuir de vache véritable, ni d'un murmure la bouche en cul de poule un jour de vernissage :’’Moi je vernis avec Lefranc Bourgeois’’.On espérait mieux de ces soit disant représentants français.Nous aurions pu imaginer recevoir dans nos boites mails une proposition de rencontres à l’Institut français avec ceux qui se proposent de représenter les français de El Jadida et toutes les bonnes volontés concernées sans exclusivité.Ils ont préféré éteindre la lumière et ranger les solidarités à découvrir,à organiser,à multiplier et à inventer à inexister.Pitoyable paresse,incompétence où la compassion,l’entraide et la solidarité se sont matérialisées par une coupure d’activité culturelle.Nul doute que la censure de quelques images de film,trois accords de guitare et un pitch du dernier roman d’un franco marocain en mal de notoriété vont calmer des estomacs en famine, les brulures des blessés(es) en soufrance ou l'insomnie des nuits froides comme on les connait en altitude.
Réussite:’’accession au dernier poste,c’est à dire au niveau d’incompétence’’
-André Malraux.-
