A la marge,celle qui relie les pages

jeudi 3 août 2023

Le directeur de la police nationale Insomniaque .


''J’aime pas les gens de pouvoir car les fauteuils déforment plus la tête que le cul.''
Une citation de Michel Hidalgo qui va à ravir au chef de la maison poulaga et les factieux du syndicat Alliance  en passant par le ministre de l’intérieur.
Le directeur de la police nationale Frédéric Veaux qui ne peut pas dormir à cause du policier violent qui a été mis en examen à Marseille devrait lui et le préfet de police de Paris Laurent Nunez ancien préfet de police des bouches du Rhône profiter de leurs insomnies pour regarder de plus près le profil de certains de leurs cowboys pour ne pas dire milicien.
En effet,on apprend par Médiapart que David B., l’un des quatre policiers de la Brigade anticriminalité (BAC) de Marseille mis en examen pour « violences volontaires aggravées » à l’encontre d’ Hedi, 21 ans, passé à tabac et laissé pour mort dans une rue de la cité phocéenne après un tir de LBD dans la tempe  en marge des révoltes ayant suivi la mort de Nahel, le 27 juin, à Nanterre –, apparaît au cœur des investigations dans une autre affaire de violences en réunion. Son nom a en effet émergé, a révélé Mediapart, dans une première information judiciaire datant de 2018 relative au passage à tabac d’une jeune femme de 19 ans, Angelina,
Voilà ce que couvre les dignitaires de l’Etat avec comme commandant en chef le président de la république, la première ministre ainsi que  le ministre de l’intérieur.Quand à la macronie elle, elle est à la plage.
Le journal Le Monde a pris connaissance d’un réquisitoire revenant sur la soirée d’Hedi R. minute par minute, ainsi que sur les blessures du jeune homme. Dans deux documents de quinze pages, la justice a retracé, au moyen de témoignages et d’auditions, et grâce à l’exploitation de la vidéosurveillance, le déroulement des faits minute par minute. Plusieurs caméras de surveillance appuient les témoignages d’Hedi R. et de Lilian P., selon le parquet d’Aix-en-Provence.
On espère un nettoyage de la police où les violents et les racistes seront évincés.La République c’est autre chose qu’une police gangrénée par des nervis à l’image de ceux qui sous Pétain et pendant la guerre d’Algérie ce sont livrés à des exactions d’inhumanité qui restent encore dans nos mémoires et qui sont documentées et archivées.
On n’oublie pas.
Sources:Le Monde,Médiapart.







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